hypothèse gaïa lovelock

17 Jan hypothèse gaïa lovelock

L'apport de l'hypothèse Gaïa y est surtout éthique[165]. En effet, la forêt régule la chaleur ; la déforestation, en plus de libérer d'énormes quantités de CO2 (par la combustion de zones forestières) perturbe le système de régulation thermique mondial[133]. Un étudiant de Lovelock, Stephan Harding, a contribué à étudier dans son livre Animate Earth: Science, Intuition, and Gaia les rapports entre l'écologie profonde et les apports scientifiques du modèle gaïen. Nevertheless, the Gaia hypothesis continues to attract criticism, and today some scientists consider it to be only weakly supported by, or at odds with, the available evidence. Pour lui, ce sont les gènes qui contrôlent l'évolution de la vie et non pas le système gaïen. Genesis (2000) de Poul Anderson fait référence à une Terre vivante[185]. en This is one technique advocated by scientist James Lovelock, creator of the Gaia hypothesis. Lovelock écrit un premier article à dimension épistémologique concernant l'hypothèse Gaïa en 1989 sous le titre Geophysiology, the science of Gaia[72] mais a besoin de prouver expérimentalement son modèle. �G2����E���ߘb?�fF$RE����� ���jH�r��}�������9�l}�����+��>VP����G�u��Ҝ>v��6�q%^���ڪfd*�����6*��Z�݆�6q�f�v��:ݓb�v��pZ͐57ދί4R���j߯�S�M�� La « passion de la ville » est ainsi une absurdité ayant conduit l'homme à oublier son milieu. La planète a ensuite vu une alternance de périodes chaudes et froides, sorte de succession d'expériences destinées à stabiliser définitivement l'atmosphère propice à la vie. humans, making Malthus more relevant than ever in explaining our environmental crisis. Plusieurs prédictions de la théorie Gaïa ont en effet conduit à des « découvertes planétaires significatives »[64]. », « un même socle de croyances religieuses et humanistes : la Terre est destinée à être exploitée pour le bien de l'humanité », « Notre civilisation se trouve dans la situation de celui que la drogue tuera, qu'il continue ou cesse brusquement d'en consommer », « Tant qu'un danger réel et immédiat n'est pas perçu, la tribu n'agit pas à l'unisson », « Les choses que nous faisons à la planète ne sont pas agressives et ne représentent pas non plus une menace géophysiologique, tant que nous ne les faisons pas à grande échelle. Les énergies alternatives étant vue par Lovelock comme gourmandes en matières premières (et donc polluantes en CO2 lors de la fabrication), il recommande comme solution immédiate, contre les revendications écologistes politiques, de se tourner vers le nucléaire civil, qui serait seule source énergétique stable, non polluante et capable de donner à la civilisation le temps de repenser sa conduite[138]. Hypothèse Gaïa: Responsibility: J.E. L'influence de l'hypothèse Gaïa sur la littérature, en particulier sur la science-fiction est importante[185]. Lovelock conclut que « Gaïa est en train d'évoluer, conformément à ses règles propres, vers un nouvel état dans lequel nous ne serons plus les bienvenus. La biosphère tendrait à redevenir le domaine des organismes microbiens et unicellulaires, dénués de complexité. L'hypothèse permet aussi une nouvelle approche de l'écologie politique. Il conclut : « J. Lovelock ideas are inconsistent with everything we now think we know about the evolutionnary process »[155]. Il se fonde surtout sur les recherches de Lynn Margulis : « The basic pattern of life is a network. Dans l'état naturel, il n'y a pas de pollution. »[147]. Le modèle informatique Daisyworld permet à Lovelock et Lee Kump de mettre en avant un phénomène de régulation automatique, et délicat à cerner : les rétroactions positives (positive feedback loop en anglais). Le modèle de Lovelock est né d'une multitude de constatations scientifiques de toutes disciplines, s'échelonnant principalement de 1965 à 2000[6] et dont l'ensemble constitue ce que Mitchell Rambler, René Fester et Lynn Margulis ont nommé l'« écologie planétaire » (Global Ecology[7]). Le point de non-retour étant dépassé pour Lovelock[136], seule l'inertie du réchauffement produit peut être gérée, notamment par un « repli durable » (sustainable retreat en anglais), vers une civilisation basée uniquement sur l'énergie nucléaire[137]. En réalité, Lovelock retient du néo-darwinisme l'idée que la génétique a pour rôle d'adapter au mieux les espèces à leur milieu. Mais vu notre nombre — près de sept milliards — et notre mode de vie actuel, elles sont intolérables. Vernadsky considère que la compréhension de ce phénomène global ne peut se faire sans prendre en compte l'action du Vivant — idée que Lovelock reprend à travers l'éco-évolution[20]. Gaïa — Gaya, Gaiya, Gæa ou Gè — est, dans la mythologie grecque, la déesse de la Terre, mère des dieux et des titans, liée au culte de la fécondité, et aussi l'une des plus anciennes représentations théistes de l'histoire humaine puisqu'on retrouve des statues de la terre-mère (Déesse mère) à l'époque préhistorique (Mohenjo-daro et Harappa). En 1970, Lovelock fonde sa théorie Gaïa, faisant partie du modèle plus vaste de l'« Earth system science », issu des recherches de la NASA dans les années 1980, et développé par David Wilkinson, biologiste au département Biological and Earth Sciences[59]. (...) Il aspire au monde de 1800 « lorsque nous n'étions seulement qu'un milliard », et annonce que notre nombre actuel n'est « pas viable » et exige un « retrait », c'est-à-dire une réduction drastique. Mais c'est surtout Anne Primavesi qui a, dans Gaia's Gift[note 9], montré le lien qui existe entre foi et écologie gaïenne, lien que Lovelock appelle de ses vœux et qu'il applique lui-même, dans sa façon de vivre, chez lui en Angleterre. Il ajoute que les espèces obéissent également à une autorégulation vers plus de stabilité : « Si, dans le monde réel, l'activité d'un organisme modifie son environnement matériel dans un sens qui le favorise, et que par conséquent, il a une descendance plus abondante, alors l'espèce et la modification vont croître l'une et l'autre jusqu'à ce qu'un nouvel état stable soit atteint. Le débat s'est poursuivi avec le soutien apporté à Lovelock par l'entomologiste Edward Osborne Wilson, qui le rejoint dès 2002 avec son ouvrage The Future of Life. Description: 183 pages : illustrations ; 24 cm: Series Title: Esprit et la matière. La métaphore d'une Terre autorégulée peut conduire à des dérives religieuses, voire à la naïveté scientifique, notamment à propos de la question du nucléaire civil duquel Lovelock est partisan[101]. The Gaia hypothesis was first scientifically formulated in the 1960s by the independent research scientist Dr. James Lovelock, as a consequence of his work for NASA on methods of detecting life on Mars. Elle est une organisation supérieure, capable d'auto-régulation. L'agriculture et la pisciculture Gaïa se fondent sur l'hypothèse de James Lovelock et sur l'agriculture Naturelle de Masanobu Fukuoka. », « Si nous discutons de la théorie de Gaïa sans préciser de quelle hypothèse nous parlons, nous pouvons créer pas mal de confusion », there was no way for evolution by natural selection to lead to altruism on a Global scale, « il ne peut, au sein de la sélection naturelle, y avoir une évolution menant à un altruisme sur une échelle globale », J. Lovelock ideas are inconsistent with everything we now think we know about the evolutionnary process, « permet une hyper productivité alimentaire afin de supporter la croissance démographique des 9 milliards d'êtres humains en 2050 », « le rapport de référence pour les années à venir », Global Action in the Interest of the Animals, The basic pattern of life is a network. My background is in systematics and biology at the species level. Louvrage fondateur la théorie Gaïa, Gaia: a new look at life on Earth (La Terre est un être vivant : Lhypothèse Gaïa) est publié en 1979. En somme, ces contraintes physiques imposées par les propriétés de l'eau ont un effet sur la croissance du vivant et déterminent le rapport entre cette croissance, la température, et la répartition de la vie sur Terre[117]. James Lovelock porte ensuite ses recherches sur la géobiochimie ; dans le cadre d'un programme d'étude océanologique, duquel émerge l'hypothèse CLAW, il découvre les porteurs moléculaires naturels des éléments soufre et iode : le sulfure de diméthyle (DMS) et l'iodure de méthyle, qui deviennent une brique fondamentale de sa théorie[68]. endobj Selon Doolittle, rien dans le génome des organismes ne peut fournir des mécanismes de rétroaction profitable au système-Terre, critique reprise par Richard Dawkins dans son ouvrage The Blind Watchmaker (L'Horloger aveugle) qui explique : « there was no way for evolution by natural selection to lead to altruism on a Global scale » (« il ne peut, au sein de la sélection naturelle, y avoir une évolution menant à un altruisme sur une échelle globale »)[154]. Une quatrième conférence, qui s'est tenue en octobre 2006 à Arlington, présidée par Lynn Margulis, intitulée : Gaia Theory : Model and Metaphor for the 21st Century, sur le campus de l'université George Mason, a réuni nombre de spécialistes : Tyler Volk, Dr Donald Aitken, Dr Thomas Lovejoy, Robert Correll, J. Baird Callicott. […] Ce n'est pas une simple question de surpopulation ; une forte densité de population causerait moins de perturbations dans les régions tempérées de l'hémisphère Nord que dans les tropiques humides[107]. Évoqué par le médecin français Claude Bernard[56], le concept biologique d'« homéostasie », forgé par Walter Cannon (1871-1945), puis précisé par W. Ross Ashby, à partir de deux mots grecs : stasis (« état », « position ») et homoios (« égal », « semblable à »), définit la stabilisation des états qui permettent les processus biologiques de la vie. L'axe de réflexion principal est surtout l'apport de l'hypothèse Gaïa à la compréhension du phénomène de réchauffement climatique[90],[91]. 3 0 obj Par ailleurs, un tel mécanisme échappe souvent à l'expérience scientifique : seule l'intuition permet de l'appréhender. James Lovelock has reiterated his long-standing neo-Malthusian views in, « Se faisant l'avatar d'une longue lignée de néo-malthusiens, Lovelock affirme que la croissance démographique est la racine de notre problème ». »[111]. Benjamin Dessus, Gustave Massiah et Jean-Pascal van Ypersele, « Même avec un milliard d'humains, il serait encore possible de limiter ces pollutions. Les réformes et plans écologiques mondiaux sont également des pis-aller : le mythe du développement durable et les énergies alternatives sont des idéologies qui permettent de repousser le problème selon Lovelock et Margulis, problème qui demeure notre capacité d'adaptation de nos besoins à notre milieu, et non d'assujettissement du milieu à nos besoins. L'hypothèse Gaïa, appelée également hypothèse biogéochimique[2], est une hypothèse controversée, initialement avancée en 1970 par le climatologue anglais James Lovelock en collaboration avec la microbiologiste américaine Lynn Margulis, mais également évoquée par d'autres scientifiques avant eux, selon laquelle la Terre serait « un système physiologique dynamique qui inclut la biosphère et maintient notre planète depuis plus de trois milliards d'années en harmonie avec la vie »[3]. Il en va de même pour l'Iodométhane[70]. Lovelock’s Gaia hypothesis was the first of its kind at the time and with such a broad and unique concept, it was met with numerous interpretations from fellow scientists and researches in a vast array of both scientific and non-scientific fields. <>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>><>>>] L'organisation est l'agencement d'une totalité en fonction de la répartition de ses éléments en niveaux hiérarchiques. » qui propose une lecture gaïenne de l'atmosphère martienne[10]. David Attenborough a ainsi produit, en deux volets, La Planète vivante[note 17]. Néanmoins, récemment dans son histoire, la Terre est confrontée à une augmentation de 0,5 °C de la chaleur du Soleil. Lovelock salue ce livre (« le rapport de référence pour les années à venir » dit-il), également recommandé par Al Gore. L'ouvrage Scientists debate Gaia (2004), sous la direction de Stephen Schneider, réunit toutes les interventions. Le modèle biogéochimique est une volonté scientifique de fusionner les disciplines en vue de cerner le système-Terre, mais c'est aussi un constat et un pronostic pour la civilisation mondiale : « Notre civilisation se trouve dans la situation de celui que la drogue tuera, qu'il continue ou cesse brusquement d'en consommer »[104] explique Lovelock. Plusieurs biologistes accepteraient le type d'homéostasie du monde virtuel Daisyworld, mais ne considèreraient pas la biosphère comme ayant les caractéristiques d'un véritable organisme. La déforestation est en second lieu l'enjeu fondamental posé par l'écologie gaïenne. »[139],[106]. Jusqu'à ce qu'un événement endogène (tectonique, volcanique, biochimique, etc.) for the Pour Emerson, dans son ouvrage Nature (1836), l'homme est devenu un demi-homme, qui utilise la nature par son entendement seul, par le travail pénible des forces matérielles, parce qu'il a perdu ses forces spirituelles.

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