corneille discours sur le poème dramatique

17 Jan corneille discours sur le poème dramatique

Dans l'Andromède, Melpomène emprunte au soleil ses rayons pour éclairer son théâtre en faveur du roi, pour qui elle a préparé un spectacle magnifique. Euripide en a usé assez grossièrement, en introduisant, tantôt un dieu dans une machine, par qui les spectateurs recevaient cet éclaircissement, et tantôt un de ses principaux personnages qui les en instruisait lui-même, comme dans son Iphigénie, et dans son Hélène, où ces deux héroïnes racontent d'abord toute leur histoire, et l'apprennent à l'auditeur, sans avoir aucun acteur avec elles à qui adresser leur discours. Pour s'affranchir du pouvoir des comédiens, il publie de plus en plus rapidement ses textes de théâtre et ainsi, légalement, se les réapproprie. Il reste à parler de l'égalité, qui nous oblige à conserver jusqu'à la fin à nos personnages les moeurs que nous leurs avons données au commencement : (...). Ce philosophe y en trouve six : le sujet, les moeurs, les sentiments, la diction, la musique, et la décoration du théâtre. Il fait les jeunes gens prodigues et les vieillards avares : le contraire arrive tous les jours sans merveille ; mais il ne faut pas que l'un agisse à la manière de l'autre, bien qu'il aye quelquefois des habitudes et des passions qui conviendraient mieux à l'autre. Trois Discours sur le poème dramatique de Pierre Corneille (Les Fiches de lecture d'Universalis) Bienvenue dans la collection Les Fiches de lecture d’Universalis. En 1660, Corneille donnait une édition en trois volumes de son Théâtre complet qui faisait de son œuvre un monument. CORNEILLE,TROIS DISCOURS SUR LE POEME DRAMATIQUE I - Discours de l’utilité du poème dramatique. Clytemnestre et son adultère tuent Agamemnon impunément ; Médée en fait autant de ses enfants, et Atrée de ceux de son frère Thyeste, qu'il lui fait manger. Mais comme il faut qu'il exécute lui-même ce qui concerne les quatre premières, la connaissance des arts dont elles dépendent lui est absolument nécessaire, à moins qu'il aye reçu de la nature un sens commun assez fort et assez profond pour réparer ce défaut. Comme ils avaient plus d'étude et de spéculation que d'expérience du théâtre, leur lecture nous peut rendre plus doctes, mais non pas nous donner beaucoup de lumières fort sûres pour y réussir. Toutes les pièces n'ont pas besoin de ces éclaircissements, et par conséquent on se peut passer souvent de ces personnages, dont Térence ne s'est servi que ces deux fois dans les six comédies que nous avons de lui. « Il est constant qu'il y a des préceptes, puisqu'il y a un art, mais il n'est pas constant quels ils sont » (premier Discours). . [Discours de l'utilité et des parties du poème dramatique. Les siècles suivants nous en ont assez fourni pour franchir ces bornes, et ne marcher plus sur les pas des grecs ; mais je ne pense pas qu'ils nous ayent donné la liberté de nous écarter de leurs règles. C'est assez parlé du sujet de la comédie, et des conditions qui lui sont nécessaires. Texte de 1660. Il ne pourrait dire de douceurs à Rodogune qui ne fussent de mauvaise grâce, dans l'instant que sa mère se vient d'empoisonner à leurs yeux, et meurt dans la rage de n'avoir pu les faire périr avec elle. J'ajoute à ces trois discours généraux l'examen de chacun de mes poèmes en particulier, afin de voir en quoi ils s'écartent ou se conforment aux règles que j'établis. Dans cette diversité d'interprétations, chacun est en liberté de choisir, puisque même on a droit de les rejeter toutes, quand il s'en présente une nouvelle qui plaît davantage, et que les opinions des plus savants ne sont pas des lois pour nous. Je n'y ajouterai que ce mot : qu'il faut, s'il se peut, lui réserver toute la catastrophe, et même la reculer vers la fin, autant qu'il est possible. En 1660, Corneille donne la première édition de ses oeuvres complètes en trois volumes. Pour Corneille … Cinna conspire contre Auguste et rend compte de sa conspiration à Emilie, voilà le commencement ; Maxime en fait avertir Auguste, voilà le milieu ; Auguste lui pardonne, voilà la fin. J'y fais quelques courses, et y prends des exemples quand ma mémoire m'en peut fournir. J'ai été plus heureux que leur règle ne me le permet, en ayant pour l'ordinaire donné deux mille aux comédies, et un peu plus de dix-huit cents aux tragédies, sans avoir sujet de me plaindre que mon auditoire ait montré trop de chagrin pour cette longueur. Trois Discours sur le poème dramatique de Pierre Corneille par * aux éditions Encyclopaedia Universalis. Livraison chez vous ou en magasin et - 5% sur tous les livres. Voilà ce qui m'est venu en pensée touchant le but, les utilités, et les parties du poème dramatique. Texte de 1660 Pierre Corneille Snippet view - 1963. L'inégalité y peut toutefois entrer sans défaut, non seulement quand nous introduisons des personnes d'un esprit léger et inégal, mais encore lorsqu'en conservant l'égalité au dedans, nous donnons l'inégalité au dehors, selon les occasions. Cinna conspire contre Auguste, sa conspiration est découverte, Auguste le fait arrêter. J'ai pris pour m'expliquer un style simple, et me contente d'une expression nue de mes opinions, bonnes ou mauvaises, sans y rechercher aucun enrichissement d'éloquence. 569 pages - renforts adhésifs sur le dos et sur les plats. Les autres se peuvent nommer des parties intégrales, qui se rencontrent dans chacune de ces premières pour former tout le corps avec elles. Trois Discours Sur Le Poème Dramatique book. Cela n'a pas besoin de commentaire ; je viens à la seconde partie du poème, qui sont les moeurs. Trois discours sur le poème dramatique, Pierre Corneille, Flammarion. : RO30143362: NON DATE. Ces épisodes sont de deux sortes, et peuvent être composés des actions particulières des principaux acteurs, dont toutefois l'action principale pourrait se passer, ou des intérêts des seconds amants qu'on introduit, et qu'on appelle communément des personnages épisodiques. Les conditions du sujet sont diverses pour la tragédie et pour la comédie. Beaucoup même ont si peu considéré ce dernier mot, qui accompagne toujours l'autre chez ce philosophe, hormis une seule fois, où il parle de la comédie, qu'on en est venu jusqu'à établir une maxime très fausse, qu'il faut que le sujet d'une tragédie soit vraisemblable ; appliquant ainsi aux conditions du sujet la moitié de ce qu'il a dit de la manière de le traiter. J'estime donc qu'il s'y en peut rencontrer de quatre sortes. En 1660, Corneille donnait une édition en trois volumes de son Théâtre complet qui faisait de son œuvre un monument. Faut-il lire dès lors les Trois Discours sur le poème dramatique qui ouvrent chacun des volumes comme une manière de testament poétique délivré par un dramaturge vieillissant, qui quitterait ainsi la scène en prenant congé de son public ? Critiques, citations, extraits de Trois discours sur Le Poème Dramatique de Pierre Corneille. C'est pourquoi notre docteur dit que les sujets viennent de la fortune, qui fait arriver les choses, et non de l'art, qui les imagine. Celle-ci se fait alors toujours aimer, quoique malheureuse ; et celui-là se fait toujours haïr bien que triomphant. Trois discours sur le poème dramatique : présentation du livre de Pierre Corneille publié aux Editions Flammarion. Ils en écoutaient l'histoire, qui leur était racontée par un autre acteur ; et par ce récit qu'on leur en faisait, l'auditeur demeurait instruit de ce qu'il devait savoir. Pour achever ce discours, je n'ai plus qu'à parler des parties de quantité, qui sont le prologue, l'épisode, l'exode et le choeur. Achetez neuf ou d'occasion. Il donne lieu lui-même à cette pensée, lorsque voulant marquer un exemple d'une faute contre cette règle, il se sert de celui de Ménélas dans l'Oreste d'Euripide, dont le défaut ne consiste pas en ce qu'il est injuste, mais en ce qu'il l'est sans nécessité. © 2021 Encyclopædia Universalis France.Tous droits de propriété industrielle et intellectuelle réservés. Le Cid est une tragi-comédie médiocrement régulière ; mais, […] Par exemple, que signifie « unité de lieu, d’action , vraisemblance », etc… ? Ce n'est pas que je veuille dire que quand un acteur parle seul, il ne puisse instruire l'auditeur de beaucoup de choses ; mais il faut que ce soit par les sentiments d'une passion qui l'agite, et non pas par une simple narration. Il n'est pas vraisemblable que Médée tue ses enfants, que Clytemnestre assassine son mari, qu'Oreste poignarde sa mère ; mais l'histoire le dit, et la représentation de ces grands crimes ne trouve point d'incrédules. Faut-il lire dès lors les Trois discours sur le poème dramatique qui ouvrent chacun des volumes comme une manière de testament poétique délivré par un dra Bien qu'il y aye de grands intérêts d'état dans un poème, et que le soin qu'une personne royale doit avoir de sa gloire fasse taire sa passion, comme en Don Sanche, s'il ne s'y rencontre point de péril de vie, de pertes d'états, ou de bannissement, je ne pense pas qu'il aye droit de prendre un nom plus relevé que celui de comédie ; mais pour répondre aucunement à la dignité des personnes dont celui-là représente les actions, je me suis hasardé d'y ajouter l'épithète d'héroïque, pour le distinguer d'avec les comédies ordinaires. Cléopâtre, dans Rodogune, est très méchante ; il n'y a point de parricide qui lui fasse horreur, pourvu qu'il la puisse conserver sur un trône qu'elle préfère à toutes choses, tant son attachement à la domination est violent ; mais tous ses crimes sont accompagnés d'une grandeur d'âme qui a quelque chose de si haut, qu'en même temps qu'on déteste ses actions, on admire la source dont elles partent. Il faut donc trouver une bonté compatible avec ces sortes de moeurs ; et s'il m'est permis de dire mes conjectures sur ce qu'Aristote nous demande par là, je crois que c'est le caractère brillant et élevé d'une habitude vertueuse ou criminelle, selon qu'elle est propre et convenable à la personne qu'on introduit. Trois discours sur le poème dramatique - Pierre Corneille - Date de parution : 20/04/1999 - Flammarion - Collection : GF-Dossier - En 1660, Corneille donnait une édition en trois volumes de son Théâtre complet qui faisait de son ?uvre un monument. En 1660, Corneille donnait une édition en trois volumes de son Théâtre complet qui faisait de son œuvre un monument. Je parlerai au second des conditions particulières de la tragédie, des qualités des personnes et des événements qui lui peuvent fournir de sujet, et de la manière de le traiter selon le vraisemblable ou le nécessaire. Quelquefois même ces discours sont nécessaires pour appuyer des sentiments dont le raisonnement ne se peut fonder sur aucune des actions particulières de ceux dont on parle. Il est vrai qu'Aristote, dans tout son traité de la poétique, n'a jamais employé ce mot une seule fois, qu'il attribue l'origine de la poésie au plaisir que nous prenons à voir imiter les actions des hommes ; qu'il préfère la partie du poème qui regarde le sujet à celle qui regarde les moeurs, parce que cette première contient ce qui agrée le plus, comme les agnitions et les péripéties ; qu'il fait entrer dans la définition de la tragédie l'agrément du discours dont elle est composée ; et qu'il l'estime enfin plus que le poème épique, en ce qu'elle a de plus que lui la décoration extérieure et la musique, qui délectent puissamment, et qu'étant plus courte et moins diffuse, le plaisir qu'on y prend est plus parfait ; mais il n'est pas moins vrai qu'Horace nous apprend que nous ne saurions plaire à tout le monde, si nous n'y mêlons l'utile, et que les gens graves et sérieux, les vieillards, les amateurs de la vertu, s'y ennuieront, s'ils n'y trouvent rien à profiter : (...). Tels sont Sosie dans son Andrienne, et Davus dans son Phormion, qu'on ne revoit plus après la narration écoutée, et qui ne servent qu'à l'écouter. Les anciens s'en sont fort écartés, particulièrement dans les agnitions, pour lesquelles ils se sont presque toujours servis de gens qui survenaient par hasard au cinquième acte, et ne seraient arrivés qu'au dixième, si la pièce en eût dix. Mais il n'y en a point de l'équité à la fainéantise, et je ne puis voir quelle part elle peut avoir en son caractère. Pour accorder ces deux sentiments qui semblent opposés l'un à l'autre, j'ai remarqué que ce philosophe dit ensuite que si un poète a fait de belles narrations morales et des discours bien sentencieux, il n'a fait encore rien par là qui concerne la tragédie. Comme ce recueil est séparé en trois volumes, je sépare les principales matières en trois discours, pour leur servir de préface. Ainsi dans les comédies de ce premier volume, j'ai presque toujours établi deux amants en bonne intelligence, je les ai brouillés ensemble par quelque fourbe, et les ai réunis par l'éclaircissement de cette même fourbe qui les séparait. . Je dis que le prologue est ce qui se récite devant le premier chant du choeur, bien que la version ordinaire porte, devant la première entrée du choeur, ce qui nous embarrasserait fort, vu que dans beaucoup de tragédies grecques le choeur parle le premier et ainsi elles manqueraient de cette partie, ce qu'Aristote n'eût pas manqué de remarquer. Voilà tout ce que nous en dit Aristote, qui nous marque plutôt la situation de ces parties, et l'ordre qu'elles ont entre elles dans la représentation, que la part de l'action qu'elles doivent contenir. Aussi ne parlait-il qu'aux spectateurs pour les instruire de ce qui avait précédé, et amener le sujet jusques au premier acte où commençait l'action. Aristote lui attribue les figures, que nous ne laissons pas d'appeler communément figures de rhétorique. La manière de donner cette intelligence a changé suivant les temps. Cette maxime est nouvelle et assez sévère, et je ne l'ai pas toujours gardée ; mais j'estime qu'elle sert beaucoup à fonder une véritable unité d'action, par la liaison de toutes celles qui concurrent dans le poème. Lire la suite. Tel est ce vieillard de Corinthe dans l'Oedipe de Sophocle et de Sénèque, où il semble tomber des nues par miracle, en un temps où les acteurs ne sauraient plus par où en prendre, ni quelle posture tenir, s'il arrivait une heure plus tard. Il ne se fait pas des miracles tous les jours ; et quoique feu M Tristan eût bien mérité ce beau succès par le grand effort d'esprit qu'il avait fait à peindre les désespoirs de ce monarque, peut-être que l'excellence de l'acteur qui en soutenait le personnage, y contribuait beaucoup. Bien qu'il aye de l'amour, il n'est point besoin qu'il parle d'épouser sa maîtresse quand la bienséance ne le permet pas ; et il suffit d'en donner l'idée après en avoir levé tous les empêchements, sans lui en faire déterminer le jour. À ce que je viens de dire de la juste grandeur de l'action j'ajoute un mot touchant celle de sa représentation, que nous bornons d'ordinaire à un peu moins de deux heures. C'est ce que veut dire Horace par ce vers : (...). Trois discours sur le poème dramatique de Corneille, Pierre sur AbeBooks.fr - ISBN 10 : 2080710257 - ISBN 13 : 9782080710253 - Flammarion - 1999 - Couverture souple Corneille Trois Discours sur le Poème Dramatique Premier Discours : Discours de l’utilité et des parties du poème dramatique Introduction Selon Aristote : plaire aux Spectateurs. Tout afficher » Expressions et termes fréquents. à quoi il est aisé de répondre que le mariage n'est point un achèvement nécessaire pour la tragédie heureuse, ni même pour la comédie. Les unes sont appelées parties de quantité, ou d'extension ; et Aristote en nomme quatre : le prologue, l'épisode, l'exode, et le choeur. Il ne faut pas prétendre, dit ce philosophe, que ce genre de poésie nous donne toute sorte de plaisir, mais seulement celui qui lui est propre ; et pour trouver ce plaisir qui lui est propre, et le donner aux spectateurs, il faut suivre les préceptes de l'art, et leur plaire selon ses règles. Je n'en dissimulerai point les défauts, et en revanche je me donnerai la liberté de remarquer ce que j'y trouverai de moins imparfait. Je réduis ce prologue à notre premier acte, suivant l'intention d'Aristote, et pour suppléer en quelque façon à ce qu'il ne nous a pas dit, ou que les années nous ont dérobé de son livre, je dirai qu'il doit contenir les semences de tout ce qui doit arriver, tant pour l'action principale que pour les épisodiques, en sorte qu'il n'entre aucun acteur dans les actes suivants qui ne soit connu par ce premier, ou du moins appelé par quelqu'un qui y aura été introduit. Lisez « Trois Discours sur le poème dramatique de Pierre Corneille Les Fiches de lecture d'Universalis » de Encyclopaedia Universalis disponible chez Rakuten Kobo. Térence, qui est venu depuis lui, a gardé ces prologues, et en a changé la matière. Je trouve dans Castelvetro une troisième explication qui pourrait ne déplaire pas, qui est que cette bonté de moeurs ne regarde que le premier personnage, qui doit toujours se faire aimer, et par conséquent être vertueux, et non pas ceux qui le persécutent, ou le font périr ; mais comme c'est restreindre à un seul ce qu'Aristote dit en général, j'aimerais mieux m'arrêter, pour l'intelligence de cette première condition, à cette élévation ou perfection de caractère dont j'ai parlé, qui peut convenir à tous ceux qui paraissent sur la scène ; et je ne pourrais suivre cette dernière interprétation sans condamner le Menteur , dont l'habitude est vicieuse, bien qu'il tienne le premier rang dans la comédie qui porte ce titre. Le contraire s'est vu dans la Mariane, dont la mort, bien qu'arrivée dans l'intervalle qui sépare le quatrième acte du cinquième, n'a pas empêché que les déplaisirs d'Hérode, qui occupent tout ce dernier, n'ayent plu extraordinairement ; mais je ne conseillerais à personne de s'assurer sur cet exemple. Je ne puis déguiser même que j'ai peine encore à comprendre comment on a pu souffrir le cinquième de Mélite et de La Veuve. Toutes les deux ont cela de commun, que cette action doit être complète et achevée, c'est-à-dire que dans l'événement qui la termine, le spectateur doit être si bien instruit des sentiments de tous ceux qui y ont eu quelque part, qu'il sorte l'esprit en repos, et ne soit plus en doute de rien. Lorsqu'on met sur la scène un simple intrique d'amour entre des rois, et qu'ils ne courent aucun péril, ni de leur vie, ni de leur état, je ne crois pas que, bien que les personnes soient illustres, l'action le soit assez pour s'élever jusques à la tragédie. L'épisode, selon Aristote, en cet endroit, sont nos trois actes du milieu ; mais comme il applique ce nom ailleurs aux actions qui sont hors de la principale, et qui lui servent d'un ornement dont elle se pourrait passer, je dirai que bien que ces trois actes s'appellent épisode, ce n'est pas à dire qu'ils ne soient composés que d'épisodes. L'événement … Trois discours sur le poème dramatique - Pierre Corneille - Date de parution : 20/04/1999 - Flammarion - Collection : GF-Dossier - En 1660, Corneille donnait une édition en trois volumes de son Théâtre complet qui faisait de son ?uvre un monument. C'est ce qu'il m'apprend lui-même un peu après, en disant que le (...) du choeur est la première chose que dit tout le choeur ensemble. Cette surprise aurait perdu la moitié de ses grâces s'il ne les eût point mandés dès le premier acte, ou si on n'y eût point connu Maxime pour un des chefs de ce grand dessein. Nous devons toutefois prendre garde que ce consentement ne vienne pas par un simple changement de volonté, mais par un événement qui en fournisse l'occasion. Aristote prétend que cette partie, non plus que la précédente, ne regarde pas le poète ; et comme il ne la traite point, je me dispenserai d'en dire plus qu'il ne m'en a appris. Théâtre de Corneille : précédé des discours sur le poème dramatique ; suivi d'un Examen analytique des pièces non comprises dans la présente édition et d'un choix de poésies diverses by Corneille, Pierre, 1606-1684 Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction .

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